Série L’Adultère : (Partie 12) Colette : Comment J’Ai Trompé Mon Mari Avec Son Jeune Frère À Peine Majeur.

Je m’appelle Colette, tout ceci se passe dans les années 1975, J’étais à l’époque une
femme qui venait d'avoir 26 ans. J’étais mariée depuis 7 ans à Jean-Pierre un homme de 27
ans, chauffeur routier. Je n’ai jamais connu mon père, j’étais la cadette de la famille.
En effet, nous habitions Nevers, mon père était parti de la maison laissant ma mère, qui
l’avait trompé, avec ses trois s : Moi, qui venais de naitre, ma demi-sœur âgée de
15 ans et mon demi-frère de 12 ans. J’avais appris bien plus tard, que j’étais née suite
à cet adultère. À l’âge de 18 ans, je devais travailler, ma mère déjà âgée, suite à une
longue dépression fut hospitalisée dans une maison médicalisée à Dijon où ma grande sœur
que je voyais très peu logeait avec son mari Alain et ses trois s. Elle m’avait
trouvé une petite chambre à louer chez un oncle à Alain qui m’avait trouvé un emploi dans
une usine de moutarde.

Ce fut donc au travail que je connus Jean-Pierre qui avait 19 ans et travaillait
dans la même fabrique. Il avait perdu son père suite à un infarctus du myocarde, trois
ans plus tôt. Il vivait chez sa mère dans un logement HLM dans la banlieue, avec son
petit frère Christian âgé de 12 ans. Ne connaissant personne, Jean-Pierre s’était
rapproché de moi et après quelques jours, nous flirtions ensemble dans la réserve à
l’abri des regards. J’avais perdu ma virginité dans sa chambre un samedi soir du mois de
mars 1969. Nous ne nous protégions que très mal à cette époque, j’étais tombée enceinte
et nous nous étions mariés dans la foulée.

Neuf mois plus tard, j’accouchais de mon petit garçon : Yannick. Nous avions trouvé
un petit logement avec deux chambres, financièrement, les fins de mois étaient
difficiles. Jean-Pierre étant livreur avait son permis poids lourd, pour gagner plus
d’argent, il quitta son emploi dans la fabrique et fut embauché dans une entreprise de
transport à l’international.

Toute la semaine, j’étais seule avec mon , les
vendredis-soir ou les samedis très tôt, lorsque mon mari rentrait nous faisions l’amour.
Côté sexe, je n’avais jamais éprouvé vraiment de plaisir, je n’étais pas frigide mais je
n’en éprouvais pas un besoin absolu.

Trois ans plus tard, ma belle-mère, veuve depuis plus de six ans, avait retrouvé
l’amour avec un homme qui l’hébergea avec son jeune Christian alors âgé de 15 ans et
demi. Mais le courant entre, le compagnon de sa mère et l’adolescent ne passait pas du
tout, de nombreuses disputes éclatèrent, ma belle-mère en était très affectée. Voyant la
situation se dégrader, Jean-Pierre après m’avoir consulté me proposa de prendre Christian
à la maison, il devait rentrer en seconde au lycée et ce garçon était très gentil,
respectueux et travailleur. Ce fut ainsi que nous avions accepté mon jeune beau-frère à
la maison. Il dormait sur le canapé, ce n’était que provisoire en attendant de trouver
mieux.

Matériellement, sa mère donnait un peu d’argent de poche et nous versait une petite
pension car elle n’avait plus son loyer à payer et son compagnon ne fut pas ingrat avec
nous, il donnait lui aussi une somme tous les mois pour les frais occasionnés. Cette
situation nous arrangeait bien, nous avions fait une demande de logement à la mairie mais
celle-ci trainait à venir. Nous avions vécu ainsi pendant un an et demi. Quelle joie
lorsque nous avions déménagé en HLM, l’appartement avait une chambre de plus et était
tout neuf. Christian et Yannick avaient tous les deux leur chambre individuelle et nous
la nôtre.

Avec Christian, nous avions pris nos habitudes la semaine, j’étais un peu sa
confidente, il m’aidait beaucoup pour le ménage et pour s’occuper de Yannick. C’était en
quelque sorte le remplacement de mon mari, pendant qu’il était sur les routes.
Comme je
vous l’avais signalé, les rapports sexuels avec Jean-Pierre les week-end m’étaient
largement suffisants. Les soirs une fois le gamin couché, nous regardions avec Christian,
la télévision côte à côte. Ce lundi-là, il était revenu de l’école très triste et m’avait
dit que sa petite amie l’avait quitté. Il en était très affecté et avait pleuré dans mes
bras devant la télé. Je l’avais gardé ainsi toute la soirée et tous les soirs de la
semaine, il venait poser sa tête sur mon ventre, avec mon bras passé sur ses épaules, ma
main reposait sur son torse.

Un mois plus tard, voulant lui remonter le moral, nous avions avec mon mari
organisé pour ses 18 ans, une belle fête d’anniversaire. Ce soir-là, j’étais à la cuisine
devant mon évier, pendant que Jean-Pierre, sa mère et son compagnon étaient dans le
salon. Christian toujours serviable me donna un coup de main pour débarrasser la table,
lorsqu’il était passé derrière moi, il posa ses mains sur mes hanches et me dit en se
penchant sur moi :
— Merci Colette, tu es une femme formidable. En me faisant une bise dans le cou.

Je n’avais pas pris cela pour une avance, mais ce bisou m’avait très émue, me
donnant des frissons sur tout le corps. Ce jeune était tellement gentil, que je m’étais
retournée et je lui rendis sa bise sur la joue en le serrant fort dans mes bras sans
aucune mauvaise intention. Les soirs suivants, tout alla un peu plus vite, je ne sais pas
si je lui avais fait croire autre chose que de l’affection, mais sur le canapé dans sa
position préférée, il me caressait la cuisse et la hanche, je vis qu’il avait une
érection à travers son short qu’il mettait devant la télévision. Je ne sais pas ce qui
m’a pris mais le fait était que je descendais ma main petit à petit de son ventre jusqu’à
son sexe et je le caressais doucement du bout des doigts, comme lui me le faisait sur ma
cuisse.


C’était des papouilles, des guiliguilis, pour moi ce n’était pas sexuel, enfin
c’était ce que je pensais, naïve que j’étais. Sans nous parler, nous avions continué
ainsi jusqu’à la fin du film. N’ayant plus de petite copine, Christian fut très excité de
mes caresses, il pensait que j’avais envie de lui faire l’amour. J’étais allongée à plat
dos, nue dans mon lit, depuis plus d’un quart d’heure les yeux fermés, prête à
m’endormir, lorsque je le sentis se glisser sous les draps. Pour ne pas le laisser croire
et ne voulant pas me disputer avec lui, je ne dis rien et fit semblant de dormir.

Il commença à me caresser le haut des cuisses, j’avais tellement honte de moi, que
je ne ressentais aucun désir ni aucun plaisir. J’étais trop absorbée à essayer de trouver
une solution afin qu’il sorte de mon lit. Ce fut lui qui me donna l’idée quand il me prit
la main et la posa sur son sexe en dessous de son slip. Son érection était à son maximum,
il avait son pénis dur comme de la pierre. J’entourai sa hampe de ma main et je commençai
à le masturber, il avait arrêté de me caresser, tellement concentré sur son plaisir. Je
jouais avec le bout de mes doigts sur son gland décalotté pendant que mes aller et
retours se faisaient plus rapides. Il éjacula sur son ventre et s’essuya avec son tee-
shirt :
— Je préfère que tu retournes dans ta chambre Christian. Il ne s’est rien passé et il
serait préférable que tu ne recommence plus.

Un peu confus et coupable de ce qu’il venait de faire, il retourna dans son lit en
s’excusant à voix basse. Je savais qu’à 18 ans, les hommes avaient besoin de se vider les
bourses d’une manière ou d’une autre. Je ne voulais pas tromper Jean-Pierre, mais
Christian avait besoin de prendre du plaisir et placés l’un contre l’autre dans le
canapé, il était excité. Ne voulant pas le voir dans mon lit à la fin de l’émission,
avant d’aller nous coucher, je l’avais masturbé tous les soirs de la semaine.
Cette
situation m’excitait de plus en plus, nous avions pris nos habitudes et ses petites
caresses sur l’intérieur de mes cuisses commencèrent à me faire de l’effet, je n’avais
jamais trop remarqué, cependant ma petite culotte était mouillée.

Cette situation dura six mois, la journée et les soirées étaient tout à fait comme
avant, aucun signe de rapprochement sentimental, entre Christian et moi n’était à
déplorer, hormis le quart où je lui prêtais ma main. Les week-end, il sortait avec ses
copains comme avant, pendant que nous faisions l’amour avec Jean-Pierre. Je m’étais
toutefois aperçu que mon jeune beau-frère était plus important pour moi, lorsque nous
étions partis en vacances. Pendant les dix jours où je ne l’avais pas vu, il me manqua.
Côté sexuel, je progressais au bon plaisir de mon mari qui ne m’avais jamais sentie aussi
réceptive à ses caresses et il était tout heureux que je lui fasse des fellations alors
que je n’avais jamais accepté au début de notre mariage. Je changeais, il n’y avait aucun
doute, j’avais besoin de ces rapports sexuels.

Après cette période estivale, les choses évoluèrent, nous ne nous étions jamais
embrassés sur la bouche avec la langue et désormais, nous le faisions tous les soirs
pendant le film. De la branlette simple que je faisais pour soulager Christian, nous
étions passés à la vitesse supérieure, ses attouchements à fleurs de peau furent
remplacés par des caresses bien plus intimes, j’avais apprécié ses doigts lorsque ceux-ci
s’insinuèrent dans ma fente mouillée, il me masturbait et j’en éprouvais du plaisir et
mes mains furent remplacées par ma bouche. Après avoir éteint la télé et la lumière du
salon, je me mettais devant lui et le suçais comme je savais, je n’étais pas une experte
mais cela fonctionnait car il éjaculait très vite dans l’essuie-tout que je tendais
lorsque je m’apercevais que sa respiration s’accélérait et que ses râles devenaient de
plus en plus forts.

Si au début, je ne pensais pas être tombée dans l’adultère, j’étais maintenant
certaine que je trompais mon mari avec son frère. Le pire, c’était que je commençais à
l’aimer, même la journée ou les soir pendant le diner, je venais l’embrasser lorsque
Yannick ne nous regardait pas. Lui aussi était épris, il me prenait dans ses bras, me
caressait les seins et les fesses, il m’excitait beaucoup mais nous n’avions jamais
franchi la ligne blanche, je n’avais pas encore connu la pénétration avec Christian,
pourtant il insistait depuis plusieurs semaines mais je n’avais jamais cédé. Comme il
fallait s’y attendre, ce moment était venu un an plus tard, j’avais alors 26 ans et lui
20. Ce vendredi soir, Christian en rentrant fut surpris que son frère ne soit pas présent
à la maison, alors qu’il avait aperçu son camion où il le garait sur le grand parking à
500 mètres, pour les week-end :
— Tu sais où il pourrait être ? Lui demandais-je.
— Il doit être au bistrot, il devrait être ici et nulle part ailleurs, il est déjà 21
heures, je dois partir avec mes potes.

J’avais servi le repas, mon mari n’était toujours pas là, lorsque je débarrassais
et mon jeune beau-frère coucha le petit, il était 22 heures. Voyant que j’étais inquiète
et troublée car ce n’était pas la première fois que Jean-Pierre faisait la bringue avec
des copains et rentrait ivre, vers deux, trois heures du matin, prétextant une panne ou
autre obligation, il me dit :
— Tu veux que je reste avec toi.
— Non ! Christian va t’amuser, tu es jeune, c’est mon problème.
— Je suis bien mieux avec toi Colette, je t’aime tu sais…

Il me prit dans ses bras et nos lèvres se rencontrèrent dans un baiser langoureux.
J’étais bien dans ses bras, il savait être doux et protecteur à la fois, j’avais envie de
le garder avec moi, s’il le désirait :
— Viens, faisons l’amour mon chéri.

J’étais allée dans son lit, sous nos baisers et caresses passionnées, nous nous
étions dénudés puis nous étions passé l’un sur l’autre dans une position tête bêche,
j’avais pris du plaisir, mais je voulais qu’il me prenne vraiment, le problème était que
je ne prenais pas la pilule, ne voulant pas me retrouver enceinte de lui car j’étais en
période d’ovulation. Je l’avais mis en garde et lui avais demandé de ne surtout pas
éjaculer dans mon vagin. Nous avions tellement apprécié, que nous avons refait l’amour
une seconde fois, et après m’avoir bien préparé, il me sodomisa avec mon accord, il me
dépucela de ce côté et j’avais connu mon premier véritable orgasme.

Je venais de jouir, nous nous embrassions lorsque nous avons entendu l’ascenseur.
Je sautai du lit et j’avais rejoint le lit conjugal juste à temps. Comme je l’avais
imaginé, Jean-Pierre était saoul, il eut toutes les peines du monde à se mettre au lit.
J’étais heureuse de l’avoir réellement trompé cette nuit-là, pourtant je l’aimais
profondément. Le lendemain, ce fut le drame, Christian s’était disputé avec son frère,
lui disant que ce n’était pas un comportement correct vis-à-vis de sa femme. Ils n’en
étaient pas venus aux mains mais Jean-Pierre ne supportant pas que son jeune frère lui
fasse la morale et malgré mon intervention, il renvoya Christian habiter chez leur mère
et son compagnon. Depuis ce jour, je n’avais plus eu aucun contact avec mon jeune amant
hormis les repas familiaux.

Dix ans plus tard, j’avais divorcé, je n’ai jamais revu Jean-Pierre ni Christian.
Je me suis remariée un peu plus tard et aujourd’hui à 62 ans, je suis heureuse et je n’ai
jamais trompé mon second mari.

Chères lectrices et chers lecteurs, j’aimerais votre sentiment. Merci de laisser vos
commentaires, je compte sur vous.

Si comme Colette vous avez envie de raconter vos histoires de sexe, contactez-moi par
Email j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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